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Sorties du mercredi 15 mai 2002
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Ciné Live
: "Jojo la frite baigne dans l'huile de
la vulgarité. Consternant et surtout impossible de se passionner
pour cette improbable histoire. Sans doute le jeune
cinéaste a-t-il espéré renouer avec les satires sociales italiennes,
façon Scola ou De Sica. Mais d'une constante maladresse, sa mise
en scène en rajoute dans la complaisance et la bêtise crasse.
Lévitation garantie pour les accros-masos aux francs nanars, repoussoir
pour les autres".
Le Parisien (15/05/02) : " Auteur d'un court-métrage,
Nicolas Cuche passe au long avec une bonne idée de scénario
et la jubilation qui va avec. Ses deux pieds nickelés sont
irréprochables mais il n'y a pas de miracle : au bout d'un
moment, les efforts de la petite équipe sont plus méritoires
qu'efficaces et cette comédie commencée
tambour battant s'achève un peu mollement".
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Ciné Live
: " Satire facile, mais souvent rigolote,
du sérail hollywoodien, un film qui ne réhaussera pas le prestige
du maître Woody Allen, mais qui ne le rabaissera pas non plus
".
Le Parisien (15/05/02) : " Ce
Woody Allen se regarde avec plaisir. Le scénario
est, certes, invraisemblable, mais on appréciera ce film
drôle et ironique qui comporte quelques séquences
irrésistibles".
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Ciné Live
: " Un sujet brûlant qui compile les thèmes les plus délicats
chers à l'Amérique contemporaine, mais qui ne parvient heureusement
pas à éclipser la réalisation très habile
de Bill Paxton "
Libération : " Un délire paranoïaque
réhabilité en mission divine. La tournure ultraréac
du récit, accréditant que la loi aux Etats-Unis
tire sa substance de Dieu, laisse quelque peu pantois et transforme
un film honnête en un volcan de conneries en éruption.
"
Le Parisien (15/05/02) : " Bill Paxton signe un
film d'horreur qui ravira avant tout les amateurs du genre. Les
autres découvriront un film hallucinant,
très noir et dérangeant (d'où
son interdiction aux moins de 16 ans)".
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Le Parisien (17/05/02)
: " Ce 'Star Wars épisode II' ne peut qu'engendrer l'enthousiasme
: ses décors époustouflants
et ses effets spéciaux donneraient presque au
spectateur l'impression d'être un acteur du film, et sa
construction, remarquable, marie jusqu'au bout les scènes
d'action et les moments de répit. Plus qu'un long métrage,
c'est une cathédrale de rêve à la gloire du
numérique ".
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