Sorties du mercredi 17 avril 2002

 

 


Ciné Live : "Un film à la fois sombre et voluptueux, dont la particularité intime est de rendre le spectateur nostalgique d'une époque qu'il n'a pas forcément vécu. " " Pour ce film d'atmosphère réalisé avec un impeccable sens du détail, François Armanet ne choisit que des bons produits : les comédiens les plus beaux du monde, et confie ironiquement les rôles d'adultes (forcément un peu censeurs) à des figures emblématiques de l'époque."
Studio : "Un marivaudage version sixties léger et savoureux." "L'interprétation, généreuse, reste la grande qualité du film, Mathieu Simonet en tête (…) Cécile Cassel est troublante en adolescente fragile."

 
 












Ciné Live : "Hollywood ne lâchera donc jamais la grappe au Vietnam. Annoncé comme un regard nouveau sur cette guerre, sans manichéisme et volonté revancharde à la Rambo, Nous étions soldats n'est en fait que le énième avatar d'une fastidieuse série royalement inaugurée par Voyage au bout de la nuit et Apocalypse now à la fin des années 70." "Retour dans l'enfer du Vietnam. De bonnes intentions, mais bourdes et absence de rigueur pèsent bien lourd dans les hélicoptères. 50 balles de perdues."
Ciné Télé Revue : "Nous étions soldats n'a pas le côté polémique et subversif, sur un sujet identique, de Platoon et de Né un 4 juillet. C'est même un long métrage dans la plus pure tradition du genre, que n'auraient renié ni John Wayne ni Audie Murphy."
Studio : "Film de guerre sans envergure." "Cet énième opus sur la guerre du Vietnam n'apporte rien au genre et utilise une structure dramatique archiclassique : avant (l'entraînement et le départ douloureux), pendant (napalm, hélicoptères…), après (le retour héroïque au pays). Seule consolation, l'interprétation, toute en retenue, de Mel Gibson, qui incarne un lieutenant-colonel courageux et sensible."

 
 



Ciné Live : "Semblant prendre plaisir à se complaire dans la facilité scénaristique, Sous le silence choisit de starifier un Andy Garcia qui ne peut que se débattre dans un rôle aussi creux. Le fantôme du fils plane pendant près de deux heures sur un silence moralisateur qui trouve dans la pédophilie et l'inceste un dénouement expédié en Chronopost. Beaucoup de bruit pour rien pour ce pseudo-thriller dramatico-familial qu'on aura vite fait d'oublier".
Studio : "Entre thriller et drame familial, ce film aurait mérité un scénario plus subtil et une mise en scène moins pataude. Heureusement Andy Garcia répare ces imperfections en illuminant ce long métrage de son jeu sobre et précis".

 

Studio : "Un beau voyage. Avec la puissance romanesque d'Adjani et Sami Frey." "Il y a chez Laetitia Masson quelque chose de séduisant et de touchant, c'est son absolue confiance dans le cinéma. (…) Dans La repentie, sa démarche est encore plus radicale que dans ses films précédents et ne fera donc pas l'unanimité."